Dream Catcher « Vagabonds » HermineHermineHermine

A l’écoute de ce « Vagabonds », il est peu probable que les amateurs de pop celtique devinent que ce groupe est Luxembourgeois. Au final, peu importe. 


Dream Catcher « Vagabonds »

Il faut bien l’avouer, Dream Catcher ne serait pas né à l’ombre des banques du Grand Duché du Luxembourg, qu’on serait passé à côté. L’attrait de l’exotisme, le fait que coincés entre la France et l’Allemagne, trois gars, puis quatre, puis six sur cet opus  se passionnent pour la pop celtique et le tour est joué : Dream Catcher devient un sujet de conversation. Tant mieux pour eux. Et pour nous puisque « Vagabonds », sans révolutionner le genre, séduit par ses mélopées faciles à chanter et ses rythmes calibrés pour les fêtes de nuit. En français, en anglais ou en allemand (oui, oui… ils font parfois penser à Stéphane Eicher, étrange), ce disque rappelle qu’ils sont présents chez nos amis disquaires depuis leur premier EP de 1998. Un baille. Et toujours cette assurance de naviguer au près serré entre les Pogues et Soldat Louis. Un gage de qualité et d’authenticité qui leur a permis de jouer en première partie de Bon Jovi, Sting ou encore Alanis Morissette. Oui, les attrapeurs de rêves vont plaire au plus grand nombre !

Dream Catcher et Red Cardell feront scène commune au Pan Piper de Paris le 5 avril (20€ / 20h)

Jazzhaus Records

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Dream Catcher « Vagabonds » HermineHermineHermine

A l’écoute de ce « Vagabonds », il est peu probable que les amateurs de pop celtique devinent que ce groupe est Luxembourgeois. Au final, peu importe. 


Dream Catcher « Vagabonds »

Il faut bien l’avouer, Dream Catcher ne serait pas né à l’ombre des banques du Grand Duché du Luxembourg, qu’on serait passé à côté. L’attrait de l’exotisme, le fait que coincés entre la France et l’Allemagne, trois gars, puis quatre, puis six sur cet opus  se passionnent pour la pop celtique et le tour est joué : Dream Catcher devient un sujet de conversation. Tant mieux pour eux. Et pour nous puisque « Vagabonds », sans révolutionner le genre, séduit par ses mélopées faciles à chanter et ses rythmes calibrés pour les fêtes de nuit. En français, en anglais ou en allemand (oui, oui… ils font parfois penser à Stéphane Eicher, étrange), ce disque rappelle qu’ils sont présents chez nos amis disquaires depuis leur premier EP de 1998. Un baille. Et toujours cette assurance de naviguer au près serré entre les Pogues et Soldat Louis. Un gage de qualité et d’authenticité qui leur a permis de jouer en première partie de Bon Jovi, Sting ou encore Alanis Morissette. Oui, les attrapeurs de rêves vont plaire au plus grand nombre !



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